Notre projet : TOUS les enfants à l’école !!! 

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« Ma parole » est bien plus qu’une école de langues. Nous avons une relation particulière avec chacun de nos élèves et les traitons avec le plus grands soin. Nous nous efforçons au plus vite de comprendre leurs attentes, afin de les accompagner au mieux jusqu’à leur but. En plus de nous consacrer à nos élèves  et de leur dispenser le cours le plus adapté à leur besoin, nous redistribuons une partie de nos gains à deux enfants Guatémaltèques. L’idée est née en juillet 2015 et le projet s’est concrétisé en janvier 2016 après la visite de nombreuses écoles et ONG en Amérique Centrale. L’expérience pourtant encore nouvelle est un réel succès et nous encourage à aider d’autres enfants malheureusement encore privés d’éducation.  De nouveaux projets en perspective… Nous aimerions étendre ce projet et permettre à d’autres enfants, contraints de travailler pour subvenir aux besoins de leur famille, de rejoindre les bancs de l’école. Après avoir passé plus d’une année en Amérique centrale, nous continuons de travailler à distance en collaboration avec des écoles et ONG locales afin de trouver la solution la plus adéquate et la plus réalisable pour donner la chance à d’autres enfants d’apprendre à lire et écrire. Notre but est d’aider cesLuis-Javier, 10 ans  enfants à avoir un accès à la scolarité sans pour autant les éloigner trop de leur culture et de leur mode de vie. Les familles indigènes habitent souvent dans des montagnes bien éloignées de la ville et difficiles d’accès. Pour ces familles démunies, l’aide de leurs enfants leur est indispensable. Pour cela, il leur serait impossible de laisser leurs enfants quitter le village tous les jours pour se rendre à l’école.

1er bulletin scolaire de Luis-Javier, 10 ans

 Après une longue réflexion, de nombreuses visites et discussions avec les familles et organisations locale, nous en sommes arrivés à la conclusion que si les enfants ne peuvent pas aller à l’école, alors c’est à l’école de venir à eux. Cette solution nous semble réalisable. Pour cela il nous faudrait bâtir une petite sale de classe assez modeste, et financer un professeur et son transport pour seulement quelques heures par jour. Nous pensons commencer avec 2 heures de notes-samuel-septembre-2016classe par jour… Pour financer cela, nous nous engageons à reverser une partie des gains récoltés en donnant nos classes.  C’est très simple: chaque élève prenant une leçon en ligne dans notre école offre indirectement quelques jours d’école à un enfant au Guatemala. 

premier bulletin scolaire de Samuel, 5 ans